Affirmation de soi : comment recevoir une critique et réagir aux moqueries ?

Les phobiques sociaux, mais aussi beaucoup d’autres de vos patients, sont probablement sensibles aux critiques et peuvent donc être facilement blessé par celles-ci. Heureusement, comme la communication en général, il y a des techniques pour savoir comment bien recevoir une critique ou bien comment en formuler une. C’est ce que nous allons voir aujourd’

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Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

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1. SENSIBILITÉ ET CRITIQUES

Les phobiques sociaux, mais aussi beaucoup d’autres de vos patients, sont probablement sensibles aux critiques et peuvent donc être facilement blessé par celles-ci. Heureusement, comme la communication en général, il y a des techniques pour savoir comment bien recevoir une critique ou bien comment en formuler une. C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.

Il faut distinguer trois types de critiques que va recevoir votre patient : 

  • la critique justifiée
  • la critique injustifiée 
  • la critique vague

2. CRITIQUE JUSTIFIÉE

Écouter la critique

Ce qui est important quand votre patient est critiqué, c’est qu’il prenne le temps d’écouter la critique, tout comme dans la gestion du conflit, qu’il s’interroge : “Mais qu’est-ce qu’on me reproche exactement ? Quel est le problème exact ? Est-ce qu’on me reproche d’être en retard ? de mal faire mes devoirs ? de ne pas être sérieux ? de ne pas rendre mon travail à temps ?”

Le patient doit vraiment prendre le temps d’écouter ce sur quoi porte la critique. Ensuite, il faudra appliquer les mêmes techniques que vous pouvez retrouver dans les chapitres 1, 2 et 3 de l’affirmation de soi. Même si votre patient est sensible et se sent emporté par ses émotions, qu’il devra accepter avec notamment le chapitre sur la gestion des émotions. Il doit, en fait, se décentrer. Ce n’est pas sa personnalité que la critique vise, ce sont simplement ses actions. Votre patient doit prendre le temps de laisser passer les émotions et puis, seulement après, de résoudre le conflit qui est lié à la critique. Il ne faut pas faire d’interprétations personnelles. Votre patient doit rester centré sur le sujet de la critique. 

Même principe et même règles dans sa réponse face à la critique. C’est-à-dire, de ne pas être agressif, d’essayer de ne pas être sur la défensive mais, au contraire, de simplement dire ce qu’il pense et ce qu’il ressent de manière la plus claire possible. 

Donc, la première chose à faire, c’est de bien écouter la critique. Si la critique est justifiée, il faut reconnaître son erreur et ne pas se justifier pour éviter un conflit. Admettre ses torts lorsque la critique est justifiée, permet d’éviter 99% des conflits. Une fois que votre patient à fait preuve d’une écoute active, il peut appliquer les nombreuses techniques du Dr Malbos

Première technique : Préciser sa position

Votre patient devra bien préciser sa position :  “Je pense que vous avez raison, c’est vrai qu’il faudrait que je fasse plus attention à arriver à l’heure. Dorénavant, je ferai plus attention et je suis plus motivé.” 

Deuxième technique : Faire une révélation sur soi

Le patient peut, par exemple, avouer que cette critique lui fait de la peine, qu’il est un peu triste. Ou encore, à l’inverse, cette émotion peut être positive. Le patient peut partager le fait qu’il soit content que son manager lui ait parlé de ce problème pour qu’ils puissent désormais mieux travailler ensemble. 

Troisième technique : Le disque rayé

Dans le cas d’une critique trop appuyée, c’est-à-dire trop répétée, votre patient peut utiliser “le disque rayé” : “Comme je vous l’ai dit, c’est vrai, j’ai commis une erreur, maintenant je vais avancer et travailler pour la modifier.”

Quatrième technique : L’enquête négative

Parfois, votre patient va se retrouver face à un interlocuteur qui va lui faire une critique mais qui n’est pas la critique réelle. Souvent, cette critique cache quelque chose derrière et n’est pas justifiée. Face à cette situation, il faut faire une enquête négative :  “Comme je vous l’ai dit, je vais travailler sur cette question mais, je vois que vous me le répétez, que vous insistez. Est ce que par hasard, il n’y aurait pas autre chose derrière votre critique ? Ne me reprochez-vous pas autre chose ?” 

À ce moment-là, ça laisse le temps et la chance à l’interlocuteur d’exprimer sa vraie critique qui se cachait derrière cette critique de façade. 

Cinquième technique : Terminer la critique

Enfin, votre patient doit toujours terminer chaleureusement sa réponse face à la critique :  “Je vous remercie d’avoir soulevé ce problème avec moi. Ça a été très utile. Je vais maintenant travailler sur cette question.”

Cela permet de pouvoir bien résoudre la question de la critique et sans, justement, en souffrir.

3. CRITIQUE VAGUE

Concernant la vague critique, il suffit simplement de clarifier la situation. Votre patient peut par exemple dire à son interlocuteur : “Que me reprochez-vous exactement dans cette situation ?”. La critique vague est facile à résoudre, il suffit juste de la clarifier pour déterminer s’il s’agit, en fin de compte, d’une critique justifiée ou injustifiée. Une fois son genre déterminé, il n’y a plus qu’à adopter et appliquer les techniques du Dr Malbos. 

La manipulation

Ce qui est également important de préciser à votre patient, c’est de faire attention à la manipulation. On remarque souvent que les patients phobiques sociaux se font facilement manipulés. Par exemple, au sein d’une discussion concernant un déménagement, l’interlocuteur va jouer sur ce qui fait peur au patient, c’est-à-dire de perdre son amitié, si jamais il ne l’aide pas. 

Votre patient doit apprendre à reconnaître la manipulation et ne doit pas entrer dans le jeu de son interlocuteur. Toujours en exprimant ses émotions : “C’est vrai, je suis ton ami, tu es très important pour moi et oui, nous nous connaissons depuis longtemps mais, je ne peux vraiment pas t’aider à déménager ce dimanche. Cela dit, si tu laisses une partie des affaires lundi, je pourrai t’aider ce jour.”. Votre patient doit faire preuve de clarté, de révélation de soi et de recherche de compromis. 

Détecter la manipulation faite par l’interlocuteur (sans toujours sans rendre compte d’ailleurs) est très important pour votre patient car cela lui permettra d’y apporter une réponse adaptée. 

3. LES MOQUERIES

Comment un phobique social peut-il se défendre face à une moquerie ou des insultes ? 

L’auto dérision

La première chose la plus facile à faire, c’est l’auto dérision. Votre patient doit donc reprendre l’insulte de son interlocuteur en l’exagérant. Par exemple, si un interlocuteur dit à votre patient “tu as l’air d’un clown”, votre patient peut lui répondre : “Oui, c’est vrai justement, je suis un clown. Hier, je travaillais encore au cirque et ça paye bien. Je vais d’ailleurs devenir bientôt très célèbre.” . L’interlocuteur se retrouve alors comme piégé. C’est la technique la plus simple car il suffit simplement de reprendre ce que dit l’interlocuteur et ce quelque soit le sujet. 

Exercez vous avec votre patient sur des exemples comme “Mais tes habits sont horribles et c’est quoi ce sac à main”, “Tu es complètement idiot !”, “Tu es trop bizarre, tu es un extraterrestre »…etc. 

L’incongruité

L’incongruité c’est la deuxième technique que votre patient peut utiliser face à des moqueries. Il s’agit de répondre à une moquerie en utilisant une réponse qui n’a rien à voir avec la moquerie et la situation. Si l’interlocuteur dit à votre patient “tu as l’air ridicule avec tes fringues !”, alors votre patient peut répondre : “Oui, justement je me promenais hier sur les quais , j’ai vu les mouettes. C’est quand même beau de voir défiler des mouettes sur le paysage.”. Ici encore l’interlocuteur va se sentir piégé.  Cette technique de “décalage” peut parfois se rendre très pratique. 

La réciprocité

Cette technique est beaucoup plus dure à appliquer car il faut quand même avoir un certain esprit rapide pour vite répondre à une insulte. Elle demande un peu d’entraînement avant de pouvoir être appliquée de manière efficace. 

Cette technique consiste à trouver un moyen de se moquer de son interlocuteur en retour. Reprenons l’exemple du “tu as l’air ridicule avec tes fringues”. Le patient doit bien analyser le look vestimentaire de son interlocuteur. Une fois son style vestimentaire analysé, admettons qu’il s’agisse d’un bobo, votre patient peut, par exemple, répondre : “Peut-être que je suis ridicule, mais moi au moins je n’ai pas l’air d’un bourgeois déguisé en clochard comme toi.” 

La réciprocité peut être fusionnée avec l’auto dérision pour faciliter son application. Par exemple, si l’interlocuteur dit à votre patient “tu es débile”, votre patient peut répondre : « Bien sûr que je suis débile, c’est pour ça que je suis dans la même classe que toi.” 

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Souvent Associé

Phobie Sociale

FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
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