La thérapie ACT

En santé mentale et dans le cadre de la psychothérapie, un élément revient souvent comme source de souffrance : le besoin de contrôle, et la détresse qu’il amène lorsque, inévitablement, certains éléments échappent à ce contrôle, ce qui peut amener une sensation d’impuissance. L’ACT fait partie des outils permettant de surmonter cette difficulté.

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Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

Les personnages virtuels, eux reproduisent de manière fidèle les comportements sociaux de la vie réelle. Vous interagirez avec ces personnages dans divers contextes du quotidien, tels qu’une soirée, un rendez-vous amoureux, un entretien d’embauche ou une discussion spontanée dans la rue. En savoir plus

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1. QU’EST-CE QUE LA THÉRAPIE ACT ?

La thérapie ACT tire son nom de l’anglais pour Acceptance and Commitment Therapy, la Thérapie d’Acceptation et d’Engagement.

Ce nom vient des deux piliers de la thérapie : l’acceptation de ce que l’on ne peut pas contrôler et l’engagement dans des actions qui nous rapprochent de ce qui est le mieux pour nous. Cela a pour objectif de favoriser et de développer la flexibilité cognitive, c’est-à-dire la capacité à s’adapter aux situations de manière adaptée et saine.

Au travers de l’analyse fonctionnelle du patient, le thérapeute va venir identifier les sources de souffrance liées à la rigidité cognitive, aux schémas inadaptés et aux croyances dysfonctionnelles, et amener, au travers d’exercices cognitifs et émotionnels, de nouvelles nuances et forces sur lesquelles se baser pour avancer.

2. SUR QUOI SE BASE LA THÉRAPIE ACT ?

Les chercheurs ayant participé au développement de l’ACT illustrent ses bases grâce au modèle Hexaflex, qui représente les six domaines qui influencent le spectre entre flexibilité et rigidité psychologique. Notre esprit a plus facilement tendance à se diriger vers un fonctionnement rigide, ce qui a pu marcher dans le passé devient la solution unique à l’avenir, ce qui diminue la résilience et cristallise un fonctionnement inefficace sur le long terme.

Chaque domaine représente une compétence ou un ensemble de compétences qui peuvent être développées de manière indépendante et en association avec les autres et qui permettent de développer la flexibilité.

Le rapport au temps, revenir au moment présent

Nous avons souvent tendance à nous projeter dans nos pensées, à ruminer le passé ou à anticiper l’avenir. Ces pensées donnent une importance démesurée à des éléments en dehors de notre contrôle ou que nous ne pouvons pas changer. Elles nous empêchent également de nous concentrer sur le moment présent et d’agir en fonction de la situation présente. Au travers d’exercices basés sur la pleine conscience (mindfulness), on apprend à se réancrer dans le présent et à ne plus autant s’attarder sur les pensées.

Le rapport à l’expérience, être dans l’acceptation

Un élément récurrent des témoignages de personnes en souffrance psychique est la sensation d’épuisement, de se battre sans jamais s’en sortir et de ne pas avancer. Ce besoin de contrôle se traduit soit par des comportements inadaptés ou par de l’évitement, les deux risquant d’empirer la situation sur le long terme. 

L’ACT propose de changer ce mode de fonctionnement au travers d’une approche expérientielle : accepter de vivre les situations, aussi désagréables soient-elles, et de ne pas chercher à contrôler ce qui ne peut pas l’être. Essayer un état d’esprit “être” plutôt que “faire” quand le “faire” n’est pas efficace. Cet état permet de se concentrer sur ce qui est vraiment important chez soi et dans ses actions. Il ne s’agit pas de résignation, mais de bienveillance envers soi-même et la réalité de l’expérience humaine.

Le rapport aux pensées, entamer la défusion

La fusion des pensées consiste à croire les pensées comme reflet de la réalité. Elles sont interprétées de manière littérale, même, voire surtout, quand celles-ci sont des pensées intrusives incontrôlables. Si la pensée “je suis nul” me traverse l’esprit, c’est que ça doit être vrai.

La défusion va alors être le processus mental qui remet les pensées à leur place, c’est-à-dire de simples événements mentaux. Je ne suis pas nul, j’ai eu la pensée que j’étais nul, mais en la percevant pour ce qu’elle est, je peux challenger cette pensée. Elle n’est qu’une série de mots ou d’images mentales, et je peux faire l’effort de vérifier cette pensée, sa véracité, sa pertinence et de me détacher de l’effet qu’elle pourrait avoir.

Le rapport à Soi, comme contexte plutôt que contenu

Notre esprit a tendance à percevoir le Soi, l’individu, comme contenu, c’est-à-dire l’accumulation de ses traits et de ses expériences, une masse fixe définie par des étiquettes simples et immuables : “Je suis quelqu’un de confiance”, “Je suis une mauvaise personne”, “Je suis infidèle”, etc… Ces étiquettes facilitent le travail de notre cerveau, mais leur rigidité bloque notre évolution car elle ne prend pas en compte le contexte. Cela peut mener à des prophéties auto-réalisatrices et une mauvaise image de soi, difficile à modifier.

Le Soi comme contexte amène l’individu à ne pas se percevoir comme un état, mais comme un ensemble de processus qui varient au fil du temps et des situations. Nos actions et nos décisions sont influencées par de nombreux facteurs externes et internes, et ceux-ci changent au cours du temps. 

Si j’ai été infidèle dans une relation passée, cela peut être dû à une relation dysfonctionnelle, un manque de communication ou de confiance en soi, une soirée un peu trop arrosée. Comprendre le contexte aide à comprendre les actions afin de les reproduire ou de les modifier afin de se rapprocher de ce qui est important pour nous.

Les Valeurs personnelles, éclaircir le chemin

Les valeurs sont la boussole morale qui est censée diriger nos actions. Chaque individu possède des valeurs qui lui sont propres. Agir en accord avec ses valeurs permet de se sentir bien dans sa vie et de construire une image de soi solide. A l’inverse, lorsque nos actions sont contraires à nos valeurs, elles amènent des regrets, de l’amertume et une mauvaise image de soi.

L’ACT permet d’identifier et de consolider les valeurs les plus importantes pour chaque individu afin d’éclairer la prise de décisions. Les valeurs vont servir de repère face aux émotions changeantes et aux pensées qui peuvent être envahissantes. En cas de doute, se reporter aux valeurs permettra d’éclairer la prise de décision et d’action.

La prise de décision par l’Action engagée

Une fois les valeurs définies, vient le moment de l’activation comportementale, le passage à l’action. L’individu définit des objectifs de vie ou de valeurs (atteindre un but ou se rapprocher de ses valeurs) et mettre en place des actions engagées pour se rapprocher de ces objectifs. Ce processus permet notamment de sortir de la spirale dépressive.

C’est lors de cette étape que de nombreux obstacles peuvent être rencontrés. Les obstacles internes seront surmontés par l’acceptation et la défusion. Les actions peuvent amener des pensées ou des émotions désagréables, mais en prenant du recul et en gardant à l’esprit l’objectif, les avantages à long terme sont mis en avant. Les obstacles externes sont quant à eux surmontés par la résolution de problème, une compétence qui se développe en s’entraînant à trouver des solutions en accord avec les valeurs.

L’action engagée permet de développer un sens de l’accomplissement et de créer un élan d’engagement.

L’objectif final du développement de ces compétences est d’arriver à s’adapter aux événements de vie, et à ne plus être prisonnier de ses pensées. Revenir dans l’instant présent pour agir en accord avec ses valeurs plutôt que dans l’évitement de l’expérience. On retrouve ainsi un contrôle sur les domaines qui peuvent être influencés, et une acceptation de ce qui ne peut pas l’être afin de ne pas laisser ces éléments nous arrêter.

3. QUELLE EST L’UTILITÉ DE LA THÉRAPIE ACT ?

La thérapie ACT permet de sortir des situations où l’on se sent coincé, impuissant et enfermé dans ses pensées.

Elle aide à retrouver un sentiment d’avancement et de progression dans sa vie en favorisant l’adaptabilité et la résilience.

Cette thérapie a prouvé son efficacité pour lutter contre l’anxiété et la dépression, aider à la réduction du stress, à la gestion des maladies chroniques ainsi qu’à l’arrêt du tabac.

De nombreuses études sont en cours pour établir avec plus de précision l’efficacité de cette thérapie sur l’ensemble du spectre de la santé mentale, mais les compétences qu’elle aide à développer, et qui se retrouvent dans d’autres thérapies déjà validées, laissent penser que l’ACT possède un champ d’action très large et dont de nombreuses personnes, même sans pathologie mentale, pourraient bénéficier.

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FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Après la période d'engagement, vous pouvez résilier à tout moment en remplissant le formulaire présent en bas de page.