Les accords toltèques

Les accords toltèques ont pour objectif de retrouver une liberté et un bien-être personnel, présents dans la culture mexicaine ancestrale. C’est Don Miguel, en 1997, qui nous partage ces précieuses informations afin de nous aider à nous sentir plus en osmose avec nous-mêmes.

La révolution de l'IA !

Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

Les personnages virtuels, eux reproduisent de manière fidèle les comportements sociaux de la vie réelle. Vous interagirez avec ces personnages dans divers contextes du quotidien, tels qu’une soirée, un rendez-vous amoureux, un entretien d’embauche ou une discussion spontanée dans la rue. En savoir plus

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1. LES ACCORDS TOLTÈQUES: QU’EST-CE QUE C’EST ?

Les accords toltèques sont des contrats, conscients ou inconscients, que nous avons envers nous-mêmes, envers les autres ou encore envers une entité. Ces contrats permettent d’harmoniser nos valeurs avec nos actions pour nous permettre de nous apporter de la joie, sans pour autant, nous contraindre à certaines règles. Il est important d’essayer d’y tendre au maximum, sans pour autant créer un carcan qui nous limiterait dans la transformation de notre vie.

2. QUELS SONT LES ACCORDS TOLTÈQUES ?

Il y a 4 accords toltèques principaux, et un qui a été rajouté par la suite.. Vous pouvez donc suivre ces 5 accords afin de comprendre quel chemin suivre pour trouver une paix intérieure.

1er accord : Que votre parole soit impeccable

Les mots ont un pouvoir particulièrement important. Utilisés à bon escient, ils peuvent permettre de réaliser des merveilles, et augmenter l’estime personnelle. A contrario, les mots peuvent également blesser, vous, ou les autres tout particulièrement. 

C’est pourquoi, le premier accord toltèque demande à ce qu’on ne parle qu’avec intégrité. Prenez le temps de réfléchir, de peser vos mots. Ne laissez pas l’émotion d’une situation vous laisser dire des propos offensants. Mais favorisez plutôt l’amour et la bienveillance dans ce que vous dites. 

Etre intègre, ne veut pas dire hypocrite, ni même impulsif. Mais c’est pouvoir dire ce que l’on pense, en choisissant de manière appropriée les mots que l’on veut utiliser pour transmettre une idée, ou un avis. 

Par exemple, si vous avez l’impression qu’un de vos collègues n’est pas efficace aujourd’hui, ne lui dites pas “tu ne fais rien du tout”, mais demandez-lui plutôt si tout va bien, parce qu’il vous paraît ailleurs. La relation se verra plus sereine.

Pour vous-même, la logique est similaire. Prenez soin de bien choisir vos mots à propos de vous.

2ème accord : Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle

Nous sommes uniques, et voyons le monde à notre façon, selon notre éducation, nos croyances, notre histoire, nos peurs etc. Nous interprétons chaque élément du monde à notre manière. Une même histoire, un même événement ne va pas être perçu de la même façon entre vous et un autre. Chaque œil accueille la vie singulièrement. Vous ne savez pas ce que l’autre comprend, interprète ou ressent. C’est pareil de son côté ! Il ne sait pas comment vous visualisez son monde. Aucune pensée est plus vraie qu’une autre

Rappelez vous également que vous n’êtes pas les autres, et que vous n’êtes pas responsables de leur comportement ou de leurs actions. Ne pensez pas qu’ils agissent selon vous ou contre vous. Ils agissent selon leur éducation ou leur valeur. 

Si quelqu’un vous insulte dans la rue, il ne vous connait pas, ça n’est donc pas contre vous. Mais dans son éducation et le moyen de communication qu’il a appris dans son milieu social était peut-être rempli d’insultes. Il s’exprime donc de la manière à laquelle il a été conditionné. 

Ne vous mettez donc pas, ou plus, au centre des situations. Voyez les comme des faits ou des événements qui vous sont extérieurs. Laissez donc vos intuitions de côté et concentrez-vous sur l’aspect objectif des événements.

3ème accord : Ne jamais faire de suppositions

Nous avons souvent tendance à vouloir interpréter les actions ou les dires des autres. En général, nous faisons des hypothèses, plutôt négatives, sur les personnes qui nous entourent ou sur leurs intentions. Tout comme le fait que nous ne connaissons pas l’histoire des autres, nous ne connaissons pas leurs idées face à une situation. Nous finissons pas croire tellement fort ce que nous pensons, que nous considérons nos hypothèses comme des certitudes. Nous finissons donc par agir envers les autres selon ce que nous pensons de leurs actions. Notre réponse et notre idée peuvent donc être biaisées. 

Osez donc poser des questions, osez donc vous exprimer quand à vos besoins. Parlez de vous clairement, faites part de ce que vous pensez et ressentez.

4ème accord : Faites toujours de votre mieux

Le meilleur n’est pas forcément le meilleur de nous-même. Donnez-vous à 100%, jamais moins, mais jamais plus non plus. Que ce soit dans vos actions, dans vos projets mais également dans vos relations. Le meilleur de nous-même fluctue, selon notre humeur, notre énergie, nos pensées et nos envies. 

Agissez avec conscience, appréciez ce que vous faites, et faites le avec votre cœur. Mettez-vous vos limites quant à ce que vous acceptez, et jusqu’où vous vous sentez capable de faire les choses. Acceptez de ne pas être parfait, ou de pouvoir échouer sur certains points.

Donnez vous des objectifs “SMART”. Ces objectifs sont : 

  • Spécifiques : Avoir un objectif clairement défini. Vous savez clairement ce que vous allez faire dans vos projets
  • Mesurables : Vous pouvez objectiver vos objectifs de manière quantitative, que ça soit en temps, ou en actions.
  • Atteignables : Vos objectifs doivent pouvoir être à votre portée, et que vous ayez les moyens d’avancer.
  • Réalistes : Apprenez à savoir si vos objectifs sont réalisables et pertinents par rapport à votre situation actuelle
  • Temporellement défini : Donnez vous un objectif de temps. Vous pouvez vous planifier plusieurs petits objectifs consécutifs pour vous donner une ligne de conduite, ou un objectif défini dans une temporalité définie également.

5ème accord : Soyez sceptique, mais apprenez à écouter

Apprenez à douter de ce qui peut vous être dit. Cela peut avoir un réel pouvoir. En effet, nos pensées ou nos paroles sont régies par nos émotions du moment. Etre dans le questionnement ne veut pas dire que l’on a peur, mais que l’on peut faire preuve d’esprit critique, d’écoute et de bienveillance par rapport à l’avis de l’autre ou par rapport à son propre avis. Nous ne laissons plus notre idée être uniquement teintée de notre émotion du moment. 

Nous avons tendance à entendre l’autre dans l’unique but de répondre et d’aller à l’encontre de ses arguments. Il faut donc apprendre à écouter l’autre dans le but de le comprendre, et d’accepter son point de vue.

4. POUR QUI ?

Pour les adultes, pour les enfants. Pour tous ceux qui veulent s’aider soi-même à trouver leur chemin vers la paix intérieure.

Chaque jour, prenez soin de vous en pensant à ces accords.  Vous pouvez vous les noter sur un papier, ou dans votre téléphone et vous les remémorer quand vous en avez besoin.

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Souvent Associé

Phobie Sociale

FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
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