La psychologie positive

Encore aujourd’hui, beaucoup de thérapies se concentrent principalement sur ce qui ne va pas. Ainsi de nombreuses connaissances ont été accumulées concernant le négatif qui entoure l’humain. Mais peu d’attention à été porté sur les forces des personnes qui leur permettent de pouvoir être dans un état de bien être. Pour aller mieux, il est également nécessaire de comprendre ce qui amène à se sentir bien.

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Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

Les personnages virtuels, eux reproduisent de manière fidèle les comportements sociaux de la vie réelle. Vous interagirez avec ces personnages dans divers contextes du quotidien, tels qu’une soirée, un rendez-vous amoureux, un entretien d’embauche ou une discussion spontanée dans la rue. En savoir plus

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1. QU’EST CE QUE LA PSYCHOLOGIE POSITIVE ?

La psychologie positive a été fondée par Martin Seligman. Différente de la pensée positive qui n’a pas été prouvé scientifique, la psychologie positive quant à elle, est une psychologie basée sur les recherches scientifiques. Elle invite la personne à entraîner son mental.

La psychologie positive est la psychologie de “ce qui va bien”, elle est l’étude du bien être. Cette psychologie est là pour rendre compte du fait qu’effectivement il est important de comprendre et de répondre aux problématiques des patients mais il est tout aussi important de mettre en avant les forces, les qualités de ce qui permet de rendre la vie “digne d’être vécue”. Qu’est ce qui nous permet d’accéder au bien être ? La psychologie positive est destinée à promouvoir des attitudes positives.

Pour la psychologie positive il est donc important de travailler sur les forces et les valeurs des personnes. 

Les valeurs ont une place importante dans la psychologie positive. Les valeurs représentent un “contrat avec soi-même ». De nos valeurs vont découler nos actions. Elles représentent ce qui est important pour nous. Elles nous guident et nous permettent de trouver la motivation afin d’effectuer certaines tâches. Lorsque l’on effectue des comportements qui vont dans le sens de nos valeurs, un sentiment d’accomplissement et d’épanouissement sera d’autant plus important. Ce sont des sources du bien être et du bonheur

La psychologie positive ne consiste pas à vivre dans un monde des bisounours où tout est joli et beau. Mais plutôt en l’acceptation de ses émotions, en un certain réalisme et sur la résilience (qui est la capacité à surmonter des chocs traumatiques par exemple). Ainsi le but va être d’adopter de nouvelles attitudes face aux difficultés qui peuvent arriver sur notre route.

2. L’IMPORTANCE DES FORCES DE CARACTÈRE

Une autre notion prend toute sa place dans la psychologie positive, c’est la notion de force. Nous possédons tous des forces de caractère. Ces forces sont ce qui nous permet de nous comporter, de penser ou de ressentir de manière la plus optimal possible pour favoriser un bon fonctionnement. Après plusieurs études, des auteurs ont réussi à identifier 24 forces de caractères divisées en 6 catégories de vertus

Sagesse et savoir

  • Curiosité et intérêt pour le monde
  • Amour d’apprendre
  • Jugement, sens critique, ouverture d’esprit
  • Ingéniosité, originalité, intelligence pratique
  • Clairvoyance, recul, mise en perspective

Courage

  • Valeur et bravoure 
  • Persévérance, assiduité, diligence
  • Intégrité, Authenticité, Sincérité
  • Enthousiasme 

Humanité et amour

  • Amour et attachement
  • Gentillesse et générosité
  • Intelligence sociale 

Justice

  • Esprit d’équipe, sens du devoir, loyauté
  • Équité, impartialité
  • Sens du commandement : leadership

Modération

  • Pardon
  • Humilité et modestie
  • Prudence, discrétion, précaution
  • Maîtrise de soi, autorégulation

Transcendance

  • Appréciation de la beauté et de l’excellence 
  • Gratitude
  • Espérance, optimisme et orientation vers le futur
  • Joie et humour
  • Spiritualité, recherche du sens de la vie, foi, religiosité


Si vous souhaitez connaître vos forces, un test existe. Vous pouvez notamment le retrouver en cliquant ici. Ces forces sont un facteur important à notre épanouissement. Faire appel à ces derniers nous permet de prendre du plaisir et d’avoir une plus grande satisfaction.

3. LES FACTEURS FAVORISANT L’OPTIMISME, LA MOTIVATION ET LA SATISFACTION

Dans la psychologie positive on retrouve 5 piliers fondamentaux réunis en un modèle, le modèle PERMA. Dans ce modèle, on retrouve les principales composantes qui permettent de participer au bien être. 

  • P pour positive emotions, c’est-à-dire les émotions positives : dans cette catégorie on retrouve les différentes émotions positives qui peuvent mener au bien être. Par exemple, on retrouve le plaisir, le confort, la chaleur, l’intérêt… Il est nécessaire de davantage porter son attention sur les émotions positives de son quotidien.
  • E pour Engagement :  c’est le fait de vivre des expérience optimales, aussi appelés flux. Pour cela, on va réaliser des tâches dans lesquelles on se sent totalement absorbés, à en perdre la notion du temps. Il y a un engagement total à cette activité. Ce sont des activités qui font appel à nos compétences (ex: jouer de la musique). Elles vont notamment permettre de pouvoir en ressortir des émotions positives mais également de pouvoir en ressortir des compétences supplémentaires. 
  • R pour relationships c’est à dire les relations sociales positives : Le bonheur n’est pas individualiste mais est également dépendant de nos relations avec autrui. L’humain est un animal fondamentalement social. Ces relations peuvent permettre de se sentir davantage en sécurité, par le soutien lors de moments difficiles. 
  • M pour meaning, c’est -à -dire le sens : le but va être de trouver du sens à sa vie. Pour donner du sens, il peut être important de faire partie de quelque chose de plus grand que soi. C’est-à-dire de servir à une cause plus grande que nous et qui compte pour nous. 
  • A pour Accomplishment c’est à dire l’accomplissement : le sentiment d’accomplissement à une place importante dans le bien être. En effet, il est important d’avoir des objectifs personnels à atteindre. Se fixer un but et tout faire pour l’atteindre. Il est nécessaire de prendre le temps de se rendre compte du chemin parcouru et des apports de l’atteinte de ce but. Il est important d’avoir des réussites dans sa vie pour pouvoir s’épanouir pleinement

Ce modèle permet de pouvoir s’y référer afin de se diriger de plus en plus vers le bien être. Il est important d’avoir connaissance de ce modèle afin d’appliquer ses différentes recommandations. Il est également nécessaire d’être attentif aux émotions positives, de trouver et participer à des activités qui nous rendent pleinement heureux, de porter son attention sur les relations sociales positives avec nos proches. Il est également nécessaire de porter son attention sur le sens que l’on veut donner à notre vie ainsi que sur les buts que l’on souhaite atteindre.

4. L’UTILISATION DE LA PSYCHOLOGIE POSITIVE DANS LA THÉRAPIE PAR EXPOSITION À LA RÉALITÉ VIRTUELLE

La compréhension de la psychologie positive ainsi que les outils utilisés dans cette dernière, sont venus enrichir la thérapie cognitivo-comportementale. Ainsi dans le poursuite de la psychologie positive, pendant les expositions en réalité virtuelle, le thérapeute va amener le patient à porter son attention sur les apports positifs des expositions ainsi que les émotions positives

Les TERV vont conseiller des exercices à effectuer entre les séances afin de poursuivre l’évolution du patient. Parmi ces exercices, le psychologue peut expliquer et conseiller l’utilisation des exercices en psychologie positive.

5. EXEMPLES D’EXERCICES DE PSYCHOLOGIE POSITIVE

Quelques petits exercices simples ayant prouvés leurs efficacités : 

  • Tous les jours, prenez un peu de temps en fin de journée pour noter sur un carnet les choses positives de notre journée. Le principe étant d’essayer d’en trouver 3. Cela peut aller d’événements importants à des événements beaucoup plus petits mais qui ont permis d’apporter des émotions positives à ce moment-là (exemple: une discussion intéressante avec une personne, un bon repas…). 
  • Dans la même optique, plutôt que de noter des choses positives de votre journée, vous pouvez concentrer vos écrits sur vos réussites pendant la journée. Toutes ces petites victoires, ces petites choses de votre journée que vous avez réussi à accomplir (ex: j’ai fait de l’ordre dans mes papiers ; j’ai pris le temps de préparer mes repas pour la semaine…)
  • Comme nous l’avons vu dans le modèle PERMA, il est important de réaliser des activités qui nous font plaisir et dans lesquelles on peut entièrement se plonger. Vous pouvez par exemple faire une liste des activités que vous aimeriez réaliser. Puis planifier ses activités dans votre agenda ! 
  • Maintenant que vous avez identifié vos forces, choisissez-en une chaque jour ou semaine et essayez de la mettre en action


Pratiquez dès que vous le pouvez des exercices de pleine conscience, ce qui  permet d’être dans l’ici et maintenant.

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FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Après la période d'engagement, vous pouvez résilier à tout moment en remplissant le formulaire présent en bas de page.