Thérapies par Exposition à la Réalité Virtuelle

Les Thérapies par Exposition à la Réalité Virtuelle (TERV) sont basées sur les principes d’exposition des Thérapies Cognitivo-Comportementales. Bénéficiant d’une validité scientifique, elles proposent une alternative aux expositions par imagination et in vivo. Ce type de thérapies s’adresse à une multitude de pathologies mentales : troubles anxieux, addictions, troubles du comportement alimentaire…Thérapies brèves, les TERV se centrent sur le “ici et maintenant” pour traiter les tableaux cliniques les plus urgents et offrir aux patients une réponse pertinente à la sévérité de leurs maux.

La révolution de l'IA !

Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

Les personnages virtuels, eux reproduisent de manière fidèle les comportements sociaux de la vie réelle. Vous interagirez avec ces personnages dans divers contextes du quotidien, tels qu’une soirée, un rendez-vous amoureux, un entretien d’embauche ou une discussion spontanée dans la rue. En savoir plus

Recevez gratuitement la méthode C2Care qui allie Intelligence Artificielle et Réalité Virtuelle !

1. HISTOIRE DES TERV

Les premiers tests concrétisés par une validité scientifique des TERV ont vu le jour en 1992. L’Université de Clark Atlanta a ainsi protocolisé une thérapie in virtuo sur la prise en charge de l’aviophobie. Alors que les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) sont en plein essor, conjointement, la technologie du virtuel croît dans ses aspects qualitatifs et étend ses applications à des horizons médicales. Les TCC voient ainsi naître une troisième alternative aux expositions  : l’in virtuo. Les cliniciens et chercheurs s’emploient à évaluer les bénéfices thérapeutiques de cette technologie dans le traitement des troubles anxieux. Le succès est au rendez-vous pour la prise en charge des phobies spécifiques. L’étendue des applications thérapeutiques s’étoffe grâce aux nouvelles études réalisées sur le trouble du stress post-traumatique. Les vétérans de la guerre du Viet-Nam seront les premiers bénéficiaires de cette technologie. 

Les TERV sont aujourd’hui actives dans la prise en charge de plusieurs familles et substrats pathologiques : addiction, troubles du comportement alimentaire, cognition sociale. De plus en plus démocratisées, ses desseins s’orientent également vers des sphères psychiatriques plus sévères : Schizophrénie, Trouble de la personnalité et Troubles thymiques sont en train de trouver des réponses adaptées aux nécessités thérapeutiques actuelles. 

2. TRAITEMENT PAR TERV

Basées sur les principes d’exposition des thérapies cognitivo-comportementales, les TERV sont une alternative permettant de reproduire une exposition in vivo par le virtuel. Le patient sera mis en contact avec des stimuli phobogènes, dans le cas des troubles anxieux afin de permettre l’avènement du phénomène d’habituation et ainsi, du succès thérapeutique.
Les TERV s’adressent également à d’autres formes psychopathologiques telles que les addictions et les troubles du comportement alimentaire. Les patients seront immergés dans des environnements écologiques, pour l’exposition mais également sur des contextes virtuels ciblant des processus sous-jacents dysfonctionnels (craving, dysmorphophobie, attentes irréalistes, distorsions cognitives…).
En moyenne sur les protocoles en vigueur, les séances d’exposition sont au nombre de 8 avec un temps d’exposition de 30 minutes à 40 minutes. Les TERV s’intègrent aux thérapies classiques dans une perspective de maximisation des bénéfices thérapeutiques.

3. À QUI S'ADRESSENT LES TERV ?

Les enfants, adolescents, adultes et personnes âgées peuvent bénéficier d’une Thérapie par Exposition à la Réalité Virtuelle. Des restrictions existent cependant concernant :

– Les enfants de moins de 4 ans car le cristallin n’est pas encore totalement formé
– Les personnes épileptiques
– Les femmes enceintes (mesure de précaution prise par absence de données médicales concrètes)
– Psychotiques en phase de décompensation

4. QUELS SONT LES RISQUES LIÉS TERV ?

Le seul risque lié à l’usage de la réalité virtuelle est le cybermalaise. Ce terme désigne un ensemble de maux, très proche du mal des transport, pouvant être ressenti durant ou après l’immersion. Les cybermalaises sont sans conséquences délétères sur le long terme et ne concernent qu’environ 10% des personnes.
Attention cependant à bien distinguer les Thérapies par Exposition à la Réalité Virtuelle et les autres utilisations pouvant être faites avec cette technologie. Les TERV se font toujours dans un cadre thérapeutique.

5. QUELLE FORMATION EST NÉCESSAIRE POUR PRATIQUER LES TERV ?

Les thérapies par exposition à la réalité virtuelle sont pratiquées par différents thérapeutes : Psychiatre, Psychologue, Psychanalyste. Elles sont également employées par d’autres professionnels de la santé tels que les infirmiers, les psychomotriciens, les sophrologues ou bien encore les hypnothérapeutes. L’utilisation de la réalité virtuelle nécessite une formation afin d’apprendre à procéder aux expositions.
C2Care dispense des formations lors de l’acquisition de l’outil mais les thérapeutes peuvent également être formés par d’autres biais (événements, e-learning…).

6. QUELLES PATHOLOGIES PEUVENT ÊTRE TRAîTÉES PAR LES TERV ?

De multiples pathologies peuvent recevoir un traitement par réalité virtuelle. Certaines bénéficient de plus de données dues aux expérimentations telles que :
– Troubles anxieux : Phobies spécifiques, Phobie sociale, Agoraphobie, Trouble du Stress Post-Traumatique.
– Troubles du comportement alimentaire : Anorexie, Boulimie, Hyperphagies (+ Obésité).
– Addictions : alcool, cigarettes, cocaïne, marijuana, jeux d’argent, achats.

D’autres troubles sont également concernés par la prise en charge en réalité virtuelle tels que la dépression, les troubles neurocognitifs, la Schizophrénie et l’Autisme. La réalité virtuelle est aussi utilisée en relaxation et pour la prise en charge de la douleur (lors de soins ou en douleurs chroniques).

7. QUELS SONT LES AVANTAGES DE LA RÉALITÉ VIRTUELLE ?

Les avantages de la réalité virtuelle sont nombreux :

– L’accessibilité : venant pallier les difficultés liées à l’exposition in vivo, la réalité virtuelle offre aux thérapeutes et aux patients la possibilités d’accéder sans limites à d’innombrables environnements depuis le cabinet du thérapeute.

– La sécurité : Les environnements dans lesquels sont immergés les patients sont sous le contrôle du thérapeute permettant ainsi d’éviter des événements fortuits. De plus, les patients seront rassurés par cette modalité d’exposition. La réalité virtuelle offre une alternative sécurisante pour le patient et le thérapeute lors de certaines expositions potentiellement dangereuses comme dans le cas d’une prise en charge de l’amaxophobie.

– La confidentialité : Les expositions pourront-être réalisées directement dans le cabinet du thérapeute.

– Réduction des coûts : Certains troubles nécessitent une exposition qui peut s’avérer coûteuse en temps et en argent. Prenons l’exemple d’une aviophobie. L’exposition in vivo nécessiterait d’exposer le patient aux étapes-clés d’un voyage en avion. Cela engendrerait des coûts considérables.

– Paramétrages : L’utilisation de la réalité virtuelle permet d’accéder au contrôle de fonctionnalités inimaginables in vivo : changer la météo, augmenter ou réduire le flux d’une foule, d’un public ou d’un trafic routier, générer des turbulences en avion ou bien encore changer les expressions faciales des interlocuteurs

– Aspect ludique : La réalité virtuelle suscite la curiosité des patients. Comme souligné dans les études, les TERV sont très appréciées par les bénéficiaires et permet de maximiser l’engagement dans la thérapie et la compliance aux soins grâce à son aspect ludique.

8. QUEL EST LE MATÈRIEL NÉCESSAIRE POUR PRATIQUER DES TERV ?

Afin de pratiquer les TERV, il vous faudra acquérir un matériel de réalité virtuelle. Plusieurs offres de casques de réalité virtuelle sont proposés actuellement sur le marché :

– L’Occulus Go qui est un casque non-filaire. Vous pouvez compléter cet équipement avec tout appareil disposant d’un navigateur web.

– L’Occulus Rift S, casque filaire avec lequel vous devez vous équiper d’un ordinateur disposant des caractéristiques minimum Core i5 9300H 8go de Ram + carte graphique Gtx 1650 et disposant d’une sortie display port compatible oculus rift S ou supérieur.

Besoin de renseignements complémentaires ou des questions particulières ?

Souvent Associé

Phobie Sociale

FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Après la période d'engagement, vous pouvez résilier à tout moment en remplissant le formulaire présent en bas de page.